Diffamé par la hiérarchie

J’ai été accusé par des collégiennes de m’être masturbé dans ma salle de classe juste après la sortie des derniers élèves pour la récréation de 10 h 20. Tout était mensonger et pouvait aisément être démontré, car ce qu’elles écrivaient était impossible vu la disposition des lieux.

La hiérarchie ne s’est pas déplacée dans la salle pour s’en rendre compte et j’ai été suspendu trois mois après être resté quatorze jours en contact au collège avec mes accusatrices.

J’ai ensuite été traité comme un chien par le rectorat et quand ils ont été obligés de me réintégrer ils ont continué à me traiter sans aucune humanité.

Je n’ai pas pu revenir au collège où j’exerçais et les collégiennes n’ont même pas été punies ! J’en suis malade et demande réparation mais la principale ment aux professeurs pour instiller le doute.

— Enseignant au collège, 2 ans d’ancienneté

L’auteur de ce témoignage autorise la reprise de ce témoignage par la presse.