Plus vous montez dans la « hiérarchie », pire c’est.
Un proviseur psychorigide et méchant, un inspecteur lâche et incompétent (ça existe), et de mèche avec ce dernier : voilà un cocktail qui vous fait vite sombrer dans la dépression et vous emmène tout droit deux mois à l’asile de fou : c’est ce qui m’est arrivé il y a quelques années.
Je n’ai toujours pas digéré une sanction parfaitement injuste de la part d’un proviseur qui n’a aucune connaissance de mon métier, ni sur le fond, ni sur la forme (enseignement technique), qui terrorise une bonne partie des personnels et n’a aucune conscience professionnelle. On n’a aucun recours, on est stigmatisé.
Recteur et soi-disant psy de l’Éducation nationale s’en fichent royalement. Pas de vague, PAS de vague ! Les seul(e)s qui ont droit de la fermer sont les petits personnels, dont les enseignants en première ligne.
Vivement la retraite ! Et retenez bien : pas de vague !
— Enseignant en supérieur, 37 ans d’ancienneté