J'ai dû, à 52 ans, prendre une retraite anticipée pour « pétage de plombs », j'étais professeur d'arts plastiques au collège près de Besançon, dans le Doubs. Suite à une deuxième suppression de poste, dans ma carrière. « on » m'a mise là où personne ne voulait aller, en « titulaire remplaçante ». Entre autres « incivilités », comme l'on se plaît à...